TIQUETONNE FLAT - 4**** - II e - Secteur Montorgueil

Description:
Vous souhaitez passer un séjour au centre de Paris dans un lieu où l'Authenticité de Paris ne pourra plus avoir de secret pour vous? Le Tiquetonne Flat est fait pour vous!

Dans une rue piétonne, en plein centre de Paris, découvrez un immeuble ancien Pierre de Paris. Cet immeuble est entré dans l'histoire.

Installez vous au 4ème étage dans un superbe et très cosy appartement pouvant accueillir jusqu'à 4 personnes.

DESCRIPTION

Superbe 2 pièces avec poutres apparentes d'une surface de 47 m².

Vous trouverez une entrée donnant sur la chambre et le séjour.

LE SEJOUR : une grande bibliothèque avec des livres français/anglais, une télévision à écran plat, un téléphone illimité (dans la limite des pays autorisés), une belle table basse avec un canapé lit 2 places.
Une table à manger dépliante avec des chaises.

LE BUSINESS CORNER : Vous trouverez un grand bureau où vous pourrez vous installer pour travailler, écrire ou même jouer à un jeu de société.

LA CUISINE est séparée et entièrement équipée : vaisselle, bouilloire, cafetière, Four, Micro Ondes, machine à laver la vaisselle, machine lavante séchante...

LA CHAMBRE comporte un grand et confortable lit deux places, une table de chevet et une grande armoire avec une table à repasser et un fer à repasser.

LA SALLE DE BAINS vous offre une grande baignoire, des WC, une vasque avec deux meubles de rangements et un grand miroir.

Vous avez la WIFI dans tout l'appartement pour vous connecter au réseau internet et un ventilateur est à votre disposition.

POURQUOI L'EMPLACEMENT EST IDEAL?

Suivant le tracé de la muraille de Philippe Auguste, elle joignait la rue Saint Jacques à la rue Montmartre. Cette rue doit son nom à un boulanger du xive siècle, Rogier de Quiquetonne, même si l?appellation actuelle ne remonte qu?à 1868. Au fil des années, le nom a été déformé, le QU se transformant petit à petit en T. Avant 1868, elle s?appelait rue du Petit-Lion-Saint-Sauveur.

Alexandre Dumas y fit habiter son célèbre D'Artagnan.

Le IIème arrondissement se caractérise par une grande activité : il ne faut donc pas y chercher de beaux monuments historiques mais plutôt une atmosphère unique.

L'Opéra-Comique fut inauguré par Marie-Antoinette à la fin du XVIIIe s. L'histoire de ce théâtre est liée à celle de l'évolution des troupes de théâtre à Paris. Sous Louis XIV, les troupes italiennes et troupes françaises s'affrontent notamment sur la conception du jeu théâtral, le jeu de la commedia dell'arte s'opposant au jeu classique des comédiens de Molière par exemple. Une fois les Italiens chassées de Paris sur décret du Roi Soleil, les Français reprennent à leur compte masques, personnages et intrigues de la commedia dell'arte. De là nait ce que l'on appelle aujourd'hui l'opéra comique c'est-à-dire à la fois une troupe d'acteurs et un style théâtral et musical caractérisé par ses farces, ses satires et ses dialogues parlés. Après la mort de Louis XIV en 1715, les Italiens reviennent et les hostilités reprennent. Il faut attendre 1780 pour qu'un théâtre soit érigé pour accueillir les troupes de l'opéra comique. Brûlé puis reconstruit, enchainant fermeture et réouverture, ce théâtre subsiste pourtant pour le plus grand bonheur de tous.

Le Palais Brongniart, autrefois appelé Palais de la Bourse, est un bâtiment qui accueillait la Bourse de Paris. Très en vogue à l'époque, le style classique hérité de l'Antiquité grecque et latine est réemployé tout au long du XVIIIe s et le Palais Brongniart en est un exemple. Les constructions sont entamées en 1808 sur ordre de l'empereur Napoléon Ier qui souhaite que Paris ait sa bourse. Les travaux connaissent de sérieuses déconvenues notamment dues au manque de fonds, les grandes batailles napoléoniennes engloutissant la majorité des deniers de l'Etat. Le Palais de la Bourse finalement baptisé Palais Brongniart en mémoire à son architecte est inauguré en 1826. L'édifice subit quelques modifications durant les siècles suivants. S'il a bel et bien accueilli un temps la Bourse de Paris, il n'accueille plus aujourd'hui que les principales associations d'aide à la